
Un lieu calme et verdoyant où toutes les communautés et classes sociales se croisent pour un instant de détente. Un lieu idéal pour échanger et contempler les œuvres mises en valeur sur le mur qui leur est dédié. Depuis 5 ans, ce mur est devenu une institution pour les artistes confirmés ou débutants, autant que pour le public du nakamal 21, pas toujours familier des expositions d’art. Douze artistes – un par mois – sont sélectionnés par Mathieu Venon, coordinateur et commissaire d’exposition. Il succède à Miriam Schwamm, à l'initiative de ce projet. Comme une lucarne sur leur travail artistique, cet espace bien équipé bénéficie en outre d’un vrai travail de scénographie, « comme dans une galerie », précise Mathieu Venon, mais avec l’ambiance conviviale et intimiste d’un nakamal.
La liberté pourrait bien être le dénominateur commun à toutes ces expositions dont les thématiques autant que les techniques sont d’une infinie variété.
Carte blanche est en effet laissée aux artistes dont la seule contrainte est de s’adapter à la surface disponible. La saison 2020 reflète cet engagement puisque gravure, photo, dessin, peinture, collage, installation et sculpture sont au programme.
Retrouvez en ce moment et jusqu’au 22 mars « Bonne année du rat », une installation de Mariana Molteni et Fanny Edwin, regards croisés à la fois inquiétants et ironiques sur l’état de santé de notre société,.
Programme complet et actualité du Mur 21 sur la page Facebook du Nakamal 21.